Kevin Staut : “La seule chose qu’il manque à Calevo, c’est de l’expérience”
Voici la réaction de Kevin Staut, auteur de parcours à quinze puis quatre points sur Calevo 2 dans la Coupe des nations de Rome :
“Calevo a beaucoup d’action, et j’ai abordé le triple en sept foulées, comme tous les autres chevaux avec une grande amplitude (en première manche, le hongre s’est retenu sur l’entrée de la combinaison sur laquelle il a lourdement fauté, avant de s’arrêter sur le deuxième élément et de finalement conclure son parcours, ndlr). La distance était la bonne, je pense qu’il s’agit plus d’un manque d’expérience. Il s’est fait un peu petit, et après une grosse faute pareille il était impossible que l’on sorte de la combinaison. Pour lui qui est émotif, le fait qu’il ait quand même réussi à sauter le triple en première manche est positif. En deuxième manche, il a fait un bon parcours. Techniquement il a beaucoup de force et un mouvement de saut efficace, il a simplement besoin de s’aguerrir en sautant encore des parcours d’un tel niveau. Je le monte depuis peu de temps (depuis février, ndlr). Les chevaux ont besoin d’un certain degré d’expérience pour sauter de tels parcours sans faute. Aujourd’hui, l’expérience est la seule chose qu’il lui manque et c’est en faisant qu’il va apprendre.
Le parcours était gros, pour les Coupes des nations nous avons d’ordinaire affaire à des cotes inférieures. D’un point de vue technique, c’était abordable, mais pour un deuxième jour de concours les obstacles étaient vraiment gros et regardants. Nous avons d’ailleurs vu beaucoup de fautes et très peu de double zéro. Comme elle n’était pas donnée, cette Coupe des nations a permis de donner de bons points de repères. Cela montre où j’en suis avec ce cheval.”
“Calevo a beaucoup d’action, et j’ai abordé le triple en sept foulées, comme tous les autres chevaux avec une grande amplitude (en première manche, le hongre s’est retenu sur l’entrée de la combinaison sur laquelle il a lourdement fauté, avant de s’arrêter sur le deuxième élément et de finalement conclure son parcours, ndlr). La distance était la bonne, je pense qu’il s’agit plus d’un manque d’expérience. Il s’est fait un peu petit, et après une grosse faute pareille il était impossible que l’on sorte de la combinaison. Pour lui qui est émotif, le fait qu’il ait quand même réussi à sauter le triple en première manche est positif. En deuxième manche, il a fait un bon parcours. Techniquement il a beaucoup de force et un mouvement de saut efficace, il a simplement besoin de s’aguerrir en sautant encore des parcours d’un tel niveau. Je le monte depuis peu de temps (depuis février, ndlr). Les chevaux ont besoin d’un certain degré d’expérience pour sauter de tels parcours sans faute. Aujourd’hui, l’expérience est la seule chose qu’il lui manque et c’est en faisant qu’il va apprendre.
Le parcours était gros, pour les Coupes des nations nous avons d’ordinaire affaire à des cotes inférieures. D’un point de vue technique, c’était abordable, mais pour un deuxième jour de concours les obstacles étaient vraiment gros et regardants. Nous avons d’ailleurs vu beaucoup de fautes et très peu de double zéro. Comme elle n’était pas donnée, cette Coupe des nations a permis de donner de bons points de repères. Cela montre où j’en suis avec ce cheval.”