L’INRAE et l’IFCE renouvellent leur partenariat pour la recherche équine

Il y a quelques semaines à Paris, l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) et l’Institut français du cheval et de l’équitation (IFCE) ont signé un nouvel accord-cadre, renouvelant ainsi leur collaboration entamée en 2010 en matière de recherche, de développement et d’innovation, au bénéfice de la filière équine. Philippe Mauguin, président et directeur général de l’INRAE, et Jean-Roch Gaillet, directeur général de l’IFCE, ont signé un nouvel accord-cadre à l’occasion du Salon international de l’agriculture. Depuis 2010, les deux instituts publics collaborent en menant des actions conjointes au service de la filière équine. Ils mettent en commun leurs moyens dans tous les domaines de recherche et d’innovation liés aux équidés et aux acteurs de la filière équine. L’INRAE apporte son soutien scientifique aux chercheurs accueillis dans ses unités. Quant à l’IFCE, il consacre des moyens à la recherche équine, notamment en termes de personnel, de soutien financier via les appels à projets du conseil scientifique, et de mise à disposition de chevaux expérimentaux. Cette collaboration est renouvelée pour quatre ans. “Elle permet de produire et de diffuser les connaissances scientifiques, de contribuer à la conception d’innovations, et d’éclairer des décideurs professionnels et politiques. Une véritable synergie, au service de la filière équine”, se félicite l’IFCE dans un récent communiqué.

“Cette filière agricole, au même titre que d’autres, doit s’adapter aux nouveaux enjeux qu’elle rencontre, tels que le changement climatique et les nouvelles attentes sociales et sociétales. L’accord-cadre signé porte ainsi notamment sur la transition agroécologique et la gestion durable des ressources naturelles, le bien-être animal dans les élevages et structures équestres, les services rendus par le cheval à la société, la place et les atouts des équidés dans les territoires agricoles, le renouvellement des générations et l’attractivité des métiers ainsi que la performance économique des entreprises”, conclut l’IFCE.