'JE VOULAIS UNE DERNIÈRE MÉDAILLE D'OR', NICOLAS ANDRÉANI



Nicolas Andréani est l’un des plus grands voltigeurs de ces dix dernières années. Champion d’Europe en Suède en 2009, champion du monde au Mans en 2012 et triple vainqueur de la Coupe du monde, ce monument des sports équestres français a offert à sa discipline une nouvelle impulsion artistique. À trente ans, il vient de mettre un terme à sa carrière sportive, après une dernière victoire aux côtés de Marina Joosten-Dupon, la longeuse qui l’accompagne depuis ses débuts au club hippique de Meaux. Avant de se tourner définitivement vers la voltige de spectacle, et peut-être de prendre les rênes de la voltige canadienne, il revient avec émotion sur les jours qui ont marqué sa vie de champion.
 
Grand Prix : Le jour où vous avez su que Marine Joosten-Dupon vous accompagnerait toujours ?
Nicolas Andréani : Je n’en ai jamais douté, et je n’ai jamais voulu avancer avec un autre longeur que Marina, même si certains m’ont approché. Avec Marina, je n’avais qu’à me soucier de ma propre performance. Nous essayions de communier ensemble. Elle a un savoir-faire hors du commun en matière de dressage de chevaux à la voltige. Elle m’a pris sous son aile et le club de Meaux est devenu ma famille.
L'intégralité de cette interview richement illustrée est à lire dans le numéro de mai de Grand Prix Magazine.
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