Le financement participatif peut-il être une solution pour conserver un cheval de haut niveau?

Il y a quelques jours, Thierry Pomel, sélectionneur de l’équipe de France de saut d’obstacles, a confié à GRANDPRIX.info que le valeureux Viking d’la Rousserie, candidat pressenti pour les Jeux olympiques de Tokyo, risquait de quitter Kevin Staut, leader des Vestes Bleues depuis plus de dix ans. Si cette option ne semble pas envisageable pour ce cas précis, le financement participatif, qu’il s’agisse de dons, de prêts ou d’investissements, peut-il être une solution pour des cavaliers de haut niveau de pouvoir conserver leur meilleure recrue?



Ces dernières décennies, à la suite d’une vaste mondialisation et d’importantes investissements financiers dans l’industrie des sports équestres, il est devenu de plus en plus couteux pour des cavaliers d’évoluer au plus haut niveau et de pouvoir conserver leurs meilleurs chevaux, surtout s’ils font l’objet de convoitises commerciales en vue des grands championnats… Dans ces situations, les solutions sont évidemment restreintes: le cavalier peut évidemment accepter de laisser partir son crack pour une belle somme d’argent et investir à nouveau dans un cheval d’avenir, le conserver - en prenant le risque qu’il se blesse ou que les rentrées d’argent via les gains ...

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