Couvrir l’équilibre nutritionnel de la poulinière avec Dynavena

Une poulinière a travaillé ardemment pour que son poulain fleurisse et gambade dans les prés avec tant d’ardeur. Comment a-t-elle géré son équilibre nutritionnel ? Pour le savoir, zoom sur les besoins d’une poulinière en gestation par le biais de Dynavena, leader des aliments floconnés haut de gamme pour chevaux, de l’entreprise française Sopral.



Suivre l’évolution de la gestation

« Une jument bien équilibrée dans sa nutrition sera fertile et plus apte à débuter puis mener à terme une gestation, c’est certain. Il n’est pas question de la surcharger pour autant, ses besoins restent stables les premiers mois après la fécondation », amorce Xavier Lippens, directeur de Dynavena. « En effet, les besoins d’une poulinière gestante sont très proches d’une non-gestante, du moins jusqu’au 8e mois de conception », appuie en réponse Aurélie Hubert, responsable recherche et développement au sein de Dynavena. « À partir de cette date, le fœtus va prendre beaucoup de masse ; il passe de moins de 10 kg à 50 kg en trois mois, ce qui correspond à une grande augmentation des besoins nutritionnels de la jument. Attention néanmoins, une surdose d’apports peut amener à ce que le fœtus grossisse trop, ce qui n’est ni bon pour la mère ni pour son futur poulain. » 



Prendre en compte la qualité du fourrage

Tout cheval, et encore plus une poulinière, doit avoir quotidiennement accès à l’herbage. « L’herbe doit rester l’aliment premier, mais il est important d’en analyser la composition pour pouvoir en équilibrer les faiblesses et qualités », reprend Xavier Lippens. « Nous proposons des produits d’élevage qui vont apporter plus ou moins de protéines selon l’herbe donnée et également offrir une variété des trois sources d’apport, à savoir les fibres, les matières grasses, et l’amidon. » « Une poulinière va puiser dans ses ressources pour couvrir les besoins de son fœtus, y compris au détriment de sa santé », complète la responsable recherche et développement au sein de Dynavena. « Attention notamment au taux de calcium qui augmente fortement lors de cette période et qui risque de fragiliser le cadre ostéo-articulaire de la jument s’il n’est pas comblé. »



Poulinage puis lactation

La poulinière subit de très fortes variations de ses besoins alimentaires au cours de son cycle de reproduction. La fin de la gestation et le début de lactation sont primordiaux. « Du poulinage jusqu’au troisième mois de lactation, les besoins de la jument sont extrêmes : les besoins en énergie ont doublé par rapport aux besoins d’entretien et ceux en protéines sont multipliés par trois. La qualité des protéines est également importante car la jument en lactation a des besoins spécifiques en acides aminés essentiels, notamment en lysine », poursuit Xavier Lippens, directeur de Dynavena. « En comparaison avec le cinquième mois de gestation, les besoins en phosphore augmentent par exemple de 250% entre le poulinage et le premier mois de lactation. Au cours de ce dernier, une poulinière doit consommer 8 à 9 UFC, contre les 4 à 5 habituels », seconde Aurélie Hubert. 



Penser au colostrum

« Un colostrum de qualité n’est pas automatique, il va bien sûr être corrélé à l’alimentation de la mère », conclut la responsable recherche et développement. « On préconise souvent que la jument soit présente sur le lieu où elle va élever son poulain quatre à cinq semaines avant le poulinage. Étant donné qu’elle fabrique ses anticorps en fonction de son environnement, elle pourra ainsi offrir à son poulain un colostrum parfaitement adapté et plus que nécessaire car celui-ci naît immunodéficient, c’est-à-dire sans défense immunitaire. »

Pour en savoir plus :
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