“Les choses ne changent pas car les chevaux ont un seuil de tolérance énorme”, Albert Voorn

Si certains étaient occupés à acheter des roses pour leur être bienaimé, le 14 février, Albert Voorn a choisi de mettre un coup de pied dans ce qu’il estime être une fourmilière. Aujourd’hui âgé de soixante-six ans et éloigné des terrains internationaux depuis 2021, le médaillé d’argent des Jeux olympiques de Sydney, avec l’exceptionnel Lando, a pris la parole à travers des vidéos publiées sur les réseaux sociaux. Il y dénonce ce qu’il définit comme la méconnaissance des professionnels du monde équestre concernant le bien-être équin, ainsi que leur inertie face aux menaces qui se profilent pour le sport. Le Néerlandais se justifie sans langue de bois.



Pourquoi avez-vous décidé de prendre la parole publiquement quant au bien-être animal dans la sphère équestre?Ce qui me pousse, c’est que les professionnels ne comprennent pas l’importance de défendre notre sport. Nous sommes arrivés à un stade où les sports équestres sont extrêmement scrutés. Le grand public émet des critiques à l’égard de toutes les activités impliquant des animaux. J’entends les professionnels essayer de se défendre en arguant que le public n’y connaît rien et n’est pas expert, mais il me semble qu’il n’y a pas besoin d’être connaisseur pour critiquer quelque chose. Dans les yeux des gens, ...

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