“Dans dix ans, nos camions rouleront peut-être à l’électrique”, Janne Friederike Meyer
En cette période où les effets du dérèglement climatique sont de plus en plus perceptibles, le monde équestre doit lui aussi s’adapter. Après avoir évoqué ses objectifs sportifs et les montures prometteuses sur lesquelles elle peut compter, Janne Friederike Meyer-Zimmermann s’interroge sur les évolutions possibles dans ce domaine, en tant que cavalière et organisatrice d’un ambitieux CSI, chez elle, au Hof Waterkant. La multimédaillée revient également sur les critiques qu’elle avait adressées à la Fédération équestre internationale au sujet des règles encadrant les congés maternité des athlètes.
La première partie de cet entretien est à lire ici.Votre père, Friedrich Meyer, est le naisseur d’Esmeraldo. L’élevage reste-t-il son crédo, ou êtes-vous également impliquée dans cette activité?C’est mon père qui a introduit la passion du cheval dans notre famille ainsi que celle de l’élevage, mais nous pratiquons désormais cette activité ensemble. Certaines anciennes juments de concours de mon mari et moi sont maintenant poulinières. Je considère que connaître les caractéristiques de ses souches est la base du succès en élevage, dans le sens où cela permet d’effectuer des croisements adaptés. Pour autant, l’&ea...
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