Shane Breen : "Je savais que j'avais laissé la porte ouverte aux autres"
Voici la réaction de Shane Breen, deuxième du Grand Prix 5* de Valence avec Laith :
"Je savais dès le départ que les trois ou quatre derniers cavaliers du barrage seraient les cavaliers à battre. Après le vertical vert, dans le tournant, je me suis dit que j’allais trop loin. Mon cheval a une grande amplitude, j’ai fait huit foulées dans la dernière ligne. Je suis vraiment très heureux du barrage mais je savais que j’avais laissé la porte ouverte aux derniers cavaliers, qui font partie des meilleurs au monde. Être battu par le numéro un mondial rend cela un peu plus facile, mais ça n’est pas seulement le fait qu’il soit numéro un mondial. Il s’agit surtout d’un vainqueur de nombreux Grands Prix à travers le monde. Cet homme est simplement super rapide, j’ai bien essayé de le battre dans la première épreuve, j’étais dans le même chronomètre, mais j’ai fait une faute ! Vous savez, c’est un tel plaisir de monter face à des cavaliers tels que Kent (Farrington, ndlr). Cela permet de monter son niveau d’un cran lorsque l’on se confronte aux meilleurs sur des évènements de très haut niveau. Je repars avec une voiture et c’est plutôt très drôle (le meilleur cavalier du concours repart en effet avec une Mercedes, ndlr). En plus, j’avais prévu d’aller dans une concession Mercedes demain avec ma femme pour nous renseigner et changer de voiture. Finalement, nous n’avons plus besoin d’y aller ! (rires) Aujourd’hui, Laith sautait son premier Grand Prix, je le monte depuis avril-mai donc nous êtes un couple neuf. Jusque là, c’est Marion Hughes qui le montait, et lorsqu’elle m’a laissé les rênes, elle m’a dit « tu vas adorer ce cheval ». Et elle avait raison !"
"Je savais dès le départ que les trois ou quatre derniers cavaliers du barrage seraient les cavaliers à battre. Après le vertical vert, dans le tournant, je me suis dit que j’allais trop loin. Mon cheval a une grande amplitude, j’ai fait huit foulées dans la dernière ligne. Je suis vraiment très heureux du barrage mais je savais que j’avais laissé la porte ouverte aux derniers cavaliers, qui font partie des meilleurs au monde. Être battu par le numéro un mondial rend cela un peu plus facile, mais ça n’est pas seulement le fait qu’il soit numéro un mondial. Il s’agit surtout d’un vainqueur de nombreux Grands Prix à travers le monde. Cet homme est simplement super rapide, j’ai bien essayé de le battre dans la première épreuve, j’étais dans le même chronomètre, mais j’ai fait une faute ! Vous savez, c’est un tel plaisir de monter face à des cavaliers tels que Kent (Farrington, ndlr). Cela permet de monter son niveau d’un cran lorsque l’on se confronte aux meilleurs sur des évènements de très haut niveau. Je repars avec une voiture et c’est plutôt très drôle (le meilleur cavalier du concours repart en effet avec une Mercedes, ndlr). En plus, j’avais prévu d’aller dans une concession Mercedes demain avec ma femme pour nous renseigner et changer de voiture. Finalement, nous n’avons plus besoin d’y aller ! (rires) Aujourd’hui, Laith sautait son premier Grand Prix, je le monte depuis avril-mai donc nous êtes un couple neuf. Jusque là, c’est Marion Hughes qui le montait, et lorsqu’elle m’a laissé les rênes, elle m’a dit « tu vas adorer ce cheval ». Et elle avait raison !"