“On ne devient pas millionnaire avec une médaille d’or olympique”, Julia Krajewski

Ayant décroché l’or olympique à Tokyo après plusieurs expériences malheureuses en grands championnats, Julia Krajewski a poursuivi sur sa lancée l’an passé en étant sacrée championne du monde par équipes et vice-championne en individuel à Pratoni del Vivaro, avec Amande de B’Neville. Installée au siège de la Fédération allemande, à Warendorf, depuis dix-sept ans, la cavalière y est désormais établie à son compte. Dans cette dernière partie d'entretien, elle donne son avis quant aux raisons pour lesquelles le concours complet est beaucoup moins rémunérateur que le jumping et se confie également sur la place des femmes dans sa discipline. L’Allemande de trente-quatre ans s’exprime aussi au sujet des enjeux sociétaux liés aux sports équestres.



Les deux premières parties de cet entretien sont à retrouver sur GRANDPRIX.infoSi vous êtes toujours installée à Warendorf, vous y travaillez à votre compte depuis quelque temps déjà. Quel système avez-vous mis en place?Je veux favoriser ma carrière sportive à haut niveau, et pour toujours pouvoir compter sur deux chevaux au top, il faut en former en permanence, d’autant que l’on doit en vendre de temps en temps puisque notre sport coûte cher. Mes deux chevaux de neuf ans ne m’appartiennent pas, donc je ne suis pas seule à décider dans ces cas-là. Éro appartient au professeur Bernd Heicke, qui possède également des parts dans Amande et fait rarement ...

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