“En achetant des embryons, j’ai eu le sentiment de profiter d’un travail qui n’était pas le mien”, Sébastien Fonck (2/2)

Pour certains, elle est une révélation de l’année 2023. Pour Sébastien Fonck, elle est la concrétisation d’un rêve d’enfant qui ne l’a jamais lâché. Dzara Dorchival n’en finit plus d’accumuler victoires et accessits sous la selle du numéro un mondial, le Suédois Henrik von Eckermann. Mais Dorchival ne se résume pas qu’à Dzara. C’est autour d’un café, une fois confortablement installé dans ce corps de ferme restauré avec goût, après avoir rendu visite à ses protégés, que Sébastien, en véritable gentilhomme-fermier, se prête au jeu des questions-réponses, sans détour ni langue de bois.



La première partie de cet article est disponible ici.Une vision claire À l’écouter, Sébastien a une vision bien précise de l’élevage qu’il affectionne et entend développer. “Comme beaucoup, j’ai acquis des embryons issus de lignées que l’on peut aujourd’hui qualifier de commerciales, car j’avais toujours rêvé de détenir des représentants de souches prestigieuses. Je m’estime chanceux, car sur quatre embryons achetés, j’ai obtenu quatre poulains magnifiques, dont trois femelles! Mais l’excitation est vite retombée, parce que j’ai eu l’impression d’hériter très vite d’une géné...

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