“Ma stabilité professionnelle me permet d’oser des choix à l’élevage que l’on pourrait juger déraisonnables”, Sébastien Fonck (1/2)

Pour certains, elle est une révélation de l’année 2023. Pour Sébastien Fonck, elle est la concrétisation d’un rêve d’enfant qui ne l’a jamais lâché. Dzara Dorchival n’en finit plus d’accumuler victoires et accessits sous la selle du numéro un mondial, le Suédois Henrik von Eckermann. Mais Dorchival ne se résume pas qu’à Dzara. C’est autour d’un café, une fois confortablement installé dans ce corps de ferme restauré avec goût, après avoir rendu visite à ses protégés, que Sébastien, en véritable gentilhomme-fermier, se prête au jeu des questions-réponses, sans détour ni langue de bois.



Originaire de Mâcon, Sébastien Fonck est le seul de sa famille à s’intéresser aux équidés. “Ma grand-mère maternelle adorait aller sur les hippodromes et jouer”, précise le Rhônalpin, qui fêtera ses cinquante ans le 21 juillet prochain. “Aussi, elle vouait une véritable admiration à l’animal. J’ai certainement été sensibilisé par son biais.” À treize ans, le jeune homme se met en selle grâce à sa mère, qui l’emmène monter au centre équestre tout juste créé par Jean-Yves Ermann, le père du cavalier Antoine Ermann, à Chevagny-les-Chevrières. “Ce fut une rév...

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